Avec son design exclusif, son savoir-faire extraordinaire et son souci du détail, chaque pièce Antonio Ortega est une œuvre d’art unique.
Nos vêtements sont méticuleusement fabriqués à la main avec attention aux détails, grâce à un œil artistique et une technique recherchée. Une seule pièce peut demander des centaines, voire des milliers d’heures de travail.
En utilisant uniquement les meilleurs matériaux, nous achetons des tissus exclusifs dans le monde entier et nous créons également nos propres créations dans notre atelier.
Chaque pièce est réalisée grâce à une processus de travail à la main complexe, qu’il s’agisse de broderies ou d’embellissements luxueux.
Antonio Ortega Couture évoque le dramatique, mais avec une attitude ludique, et toujours en restant luxueux avec un souci pour les détails. Une telle finesse fait de notre marque un protagoniste dans l’art de la couture et un incontournable pour ceux et celles qui recherchent le luxe.
Né à Morelia, ville mexicaine réputée pour sa culture et ses traditions artisanales, Antonio est le dernier d’une famille de 15 ans enfants et a découvert son amour pour la mode à l’âge de 8 ans.
Naturellement attiré par les études de design, Antonio travaille en 1994 avec le Centre des Arts et Métiers du Mexique et apprend des techniques et le savoir-faire traditionnel en tressage, tissage, broderie et ajouré: des techniques caractéristiques que l’on retrouve encore dans ses créations.
Après une carrière de styliste en chef pour la chaîne de télévision mexicaine Televisa S.A, Antonio laisse sa curiosité l’emmener en 2001 à Paris pour découvrir les racines de la Haute Couture et étudier à l’école de design Chardon Savard.
En 2004, Antonio s’installe à Montréal (Canada) et il commence sa carrière de créateur de mode.
Chaque pièce de la Maison Ortega commence par un croquis détaillé dessiné à la main par Antonio lui-même. L’esquisse passera ensuite par différentes étapes de conception jusqu’à ce qu’il reflète l’esthétique globale de la marque Antonio Ortega.
«La couture concerne ce que vous ne voyez pas aussi bien que ce que vous faites», dit Antonio.